Un café à la creme pour ceux qui n'aiment pas la creme

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Tracabilité!

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Faute de touristes, le sexe tarifé est soldé en Thailande

Voila ce qu'on peut lire dans les journeaux suisses.

Les bars à prostituées sont bien moins remplis ces iours-ci à patpong, un des quartiers chauds de Bangkok, où le sexe est en solde, en raison d'une baisse de la fréquentation étrangère, elle-même consécutive à la crise des aéroports. "C'est la haute saison (touristique)mais, en ce moment, c'est comme si c'était la basse saisonn", déplore Nan, hôtesse dans un bar quasi désert.

A Patpong, le prix de la passe est enchute libre: des tarifs à 15oo bahts (St fr. So) pour deux heures de service<> peuvent maintenant être négociés à 8oo bahts (27fr.5o) avec certaines prostituées.Outre les bars, les cabarets de divertissement, animés par des "ladyboys" (transsexuels), semblent également souffrir de la crise. "La fermeture des aéroports a sérieusement affecté nos affaires", admet NiponBoonmasuwa-ran, directeur marketing du spectaclede travestis Calypso. _ AFP

J'aimerai bien connâitre le corrsepondant de l'AFP à Bangkok, il fait bien son travail!

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Un brin de poésie

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Le roi et la crise en Thaïlande

Traduit de http://www.economist.com/world/asia/displaystory.cfm?story_id=12724800&source=most_commented&mode=comment&intent=readBottom

Un bon désordre royal

4 décembre 2008 | BANGKOK
De l'édition d'impression de The Economist

Le conflit politique interminable de la Thaïlande a beaucoup à faire avec le sujet tabou de sa monarchie. C'est pourquoi le tabou doit être cassé

EPA

Même le plus vénéré des rois, adoré par ses personnes comme demi-dieu, n'est pas immortel. Thais ont été rappelés ce dernier mois quand six jours de cérémonies fleuries d'incinération, avec les chariots et les armées dorés des frais supplémentaires dans des costumes traditionnels, ont été tenus pour princesse Galyani, la soeur plus âgée de leur Roi aimé Bhumibol Adulyadej (décrit ci-dessus). Il y avait entretien à Bangkok de l'enterrement de la princesse étant une « répétition générale » pour la fin du règne de Bhumibol, 62 ans de long jusqu'ici. Faisant à une de peu d'apparitions publiques cette année, peu avant son quatre-vingt-unième anniversaire le 5 décembre, le roi a en effet regardé son âge.

L'enterrement seulement brièvement a calmé un conflit politique qui a fait rage pendant trois années entre les défenseurs de Thaksin Shinawatra, le premier ministre évincé par les généraux royalistes dans le coup 2006, et un mouvement d'opposition soutenu par beaucoup de l'élite traditionnelle de Bangkok, apparemment comprenant la Reine Sirikit. Mais le jour après que les cérémonies aient fini une grenade éclatée parmi d'anti-Thaksin protestataires, tuant un. Les protestataires anti-gouvernement, l'alliance des personnes pour les aéroports principaux de démocratie (GARNITURE), qui avait occupé la Chambre de gouvernement depuis août, puis de Bangkok saisi, causant le chaos. Le siège a été soulevé seulement huit jours plus tard, après qu'une cour ait dissous les parties principales dans le pro-Thaksin gouvernement de coalition.

Thaksin est dans l'exil, condamné in absentia de la corruption. Mais un gouvernement dominé par ses alliés a régi depuis que la démocratie est retournée dans les élections de décembre passé. Elle semble portée en équilibre de continuer sous de nouveaux noms de partie en dépit de la décision de la Cour. Le mois dernier M. Thaksin a présenté un rassemblement énorme de ses défenseurs « de chemise rouge » pour rappeler ses ennemis royalistes « de chemise jaune » dans la GARNITURE, qui prétendent protéger le roi contre le républicanisme supposé de M. Thaksin's, qu'il reste le politicien le plus populaire de la Thaïlande.

Sans compter que des soucis justifiés concernant des abus de pouvoir de M. Thaksin's, un des soucis des royalists est qu'il construisait, par des politiques populistes telles que les soins de santé et le microcredit bon marché, un réseau de patronage et l'image populaire qui ont défié le roi. Une autre crainte est que la générosité alléguée de M. Thaksin's au Prince héritier Vajiralongkorn dans le passé a été destinée pour accumuler l'influence avec lui une fois qu'il hérite du trône. Pour ces derniers et d'autres raisons, l'en arrière-histoire petit-dite du Roi Bhumibol est essentielle à comprendre la situation fâcheuse de ce pays des personnes de 64m.

Beaucoup Thais tortillera à ce qui suit, et préférera la version de conte de fées de l'histoire du roi. Mais le roi après des actions sont des causes premières d'un conflit divisant le pays, et doivent être examinés.

Le conte de Bhumibol, même si dépouillé de la mythologie ses courtisans ont passé des décennies construisant autour de lui, est exceptionnel. Le fils né en Amérique d'un homme du peuple moitié-Chinois hérite accidentellement d'un trône près de l'extinction et le rétablit, créant un du monde les monarchies les plus puissantes et les plus riches, et sûrement le seul de n'importe quelle importance pour avoir gagné dans la puissance politique dans des temps modernes. Le charisme, l'intelligence, les talents (de jouer le saxophone à la pluie-fabrication, une science en laquelle il tient un brevet européen) et la grande préoccupation du roi pour le bien-être de ses personnes le font adoré à la maison et admiré autour du monde. Son image peut-être atteint son zénith en 1992, après que l'armée tire des douzaines de protestataires pro-démocratiques à Bangkok, quand des programmes télévisés le chef d'armée (et premier ministre) Suchinda Kraprayoon et le chef de protestation, Chamlong Srimuang (maintenant un stalwart de GARNITURE), se mettant à genoux dans une assistance avec lui. Peu après le Général Suchinda démissionne, et le roi est donné le crédit pour la restauration de la démocratie.

Cependant, l'histoire de Bhumibol est également celle d'un roi qui a perdu la foi dans la démocratie (s'il l'avait toujours vraiment), qui s'est constamment mêlée dans les coulisses dans la politique et ainsi, au crépuscule de son règne, risque de laisser un pays non préparé pendant la vie sans « père », comme Thais l'appellent affectueusement. La compréhension pourquoi un pays qui était jusque récemment une balise de pluralisme en Asie est devenu un tel « désordre », comme le roi l'a mis en 2006, est impossible sans soulever le voile épais de la vénération l'entourant.

Ce n'est pas facile parce que, paradoxalement, un roi dont l'adulation par ses sujets est censément proche-universelle est néanmoins considéré avoir besoin de protection, sous forme de loi le plus férocement imposée du lèse-majesté du monde. Considérant que d'autres monarchies ont la plupart du temps supprimé ou ont cessé d'imposer de telles lois, la Thaïlande a été rendue plus dure dans les années 70. Même on interdit la critique la plus douce et la plus motivée de la monarchie, punissable par jusqu'à 15 ans en prison. Ceci a exercé un effet remarquable pas simplement sur Thais mais sur les générations successives des diplomates, des universitaires et des journalistes occidentaux qui, à peu d'exceptions, ont doucement censuré elles-mêmes.

Les hommes de tout le roi

Les origines de ceci, en partie, étaient dans la guerre de Vietnam, dans laquelle l'Amérique a trouvé le Roi Bhumibol un allié anti-communist dévoué. Identifiant sa valeur comme icône anti-rouge, l'Amérique a pompé des fonds de propagande dans une campagne pour mettre le portrait du roi dans chaque maison thaïe. Même aujourd'hui, bien que vite pour décrier des mouvements antidémocratiques dans d'autres pays asiatiques, l'Amérique proteste rarement les arrestations de Thais et des étrangers pour critiquer la monarchie. Les journalistes et les universitaires étrangers ont besoin des visas et de l'accès à l'administration pour réaliser leurs travaux, et ont joué ainsi en bas de l'angle royal avec n'importe quelle histoire.

En raison de cette conspiration de silence, seulement une biographie sérieuse existe d'un des chefs les plus importants de l'Asie. « Le Roi Never Smiles », par Paul Handley, un journaliste américain (2006), note que la restauration du roi de la puissance et du prestige de la monarchie thaïe « est l'une des grandes histoires incalculables du 20ème siècle. »

M. Handley dit qu'en deux années intervenantes personne n'a contesté les faits principaux dans son livre ; pas même la condamnation de la substance, qui éclate le mythe que le roi intervient rarement dans la politique et puis seulement du côté du bon. Peut-être sa charge plus grave est celle dans 1976 que le roi a semblé pardonner la croissance des groupes de droite de surveillant qui, avec l'armée, étaient plus tard responsables de l'abattage des protestataires paisibles d'étudiant. Comme s'est produit souvent dans l'histoire thaïe moderne (et pourrait facilement se produire encore maintenant), le malaise 1976 a été employé comme un prétexte pour renverser le gouvernement et pour le remplacer par royal approuvé.

Bhumibol était 18 quand il a pris le trône après la mort mystérieuse de son frère inefficace, le Roi Ananda, en 1946. Il a promptement relevé du balancement de ses oncles, princes démangeant pour reconstituer la puissance et richesse que la couronne avait perdue quand la monarchie absolue a été supprimée en 1932. Pendant qu'il se développait dans ses robes longues dans les années 50 il a créé un système complet de patronage. La récompense des honneurs en échange des donations aux causes royales a fait à la monarchie la source prédominante de la charité. Cette « monarchie de réseau », pendant qu'elle était doublée par Duncan McCargo, un universitaire britannique, a remis le roi au centre de la société thaïe et a récupéré beaucoup de sa puissance perdue.

Un thème maintenant embrassé avec l'enthousiasme par la GARNITURE, inspirée par les discours du roi au cours des années, est que la politique électorale est irréparable dégoûtante et que la Thaïlande ferait mieux avec la règle ad hoc par les « bons hommes » royal favorisés. L'épitomé de ces derniers est le Général Prem Tinsulanonda qui, en tant que premier ministre non élu dans la semi-démocratie des années 80, a fait autrement plus que n'importe qui pour stimuler l'idée de la proche-divinité du roi. Maintenant le président du conseil privé, le Général Prem est également censément au-dessus de la politique. Mais c'est aussi un mythe : il est largement vu en tant qu'esprit supérieure du coup 2006. Sous peu à l'avance il a dit à l'armée que le roi était son « propriétaire » et M. Thaksin simplement un « jockey » remplaçable.

Les Royalistsd'AP portent le jaune

La GARNITURE est un groupe bariolé, uni seulement par haine fanatique de M. Thaksin. Elle inclut les hommes d'affaires contrariés, les dames aristocratiques, les membres d'un équipement bouddhiste militariste, autrefois les intellectuels d'anti-monarchiste et les types réactionnaires d'armée. Sa « nouvelle politique », se composant d'un parlement en partie désigné, des puissances rapides pour l'intervention militaire et, naturellement, une couronne forte, est « Premocracy » redux.

L'armée est une grande partie de la situation fâcheuse du pays. Ses généraux croient qu'ils ont un droit d'enlever n'importe quel gouvernement qui encourt le son, ou le palais, mécontentement-prenant sa sélection de la monarchie qui a approuvé tellement beaucoup de ses coups. Ces deux obstacles au développement démocratique de la Thaïlande sont inextricablement liés.

M. Handley critique la manière que le roi a miné la règle du droit. Quand il est intervenu pour faire connaître ses souhaits, son influence est telle qu'elle est prise comme ordre. Dans un exemple trop tard pour le livre, des mois avant le coup 2006 le roi a commandé les juges du pays faire quelque chose au sujet de la crise politique. Dans un enregistrement d'un appel téléphonique entre deux juges de court suprême peu après, plus tard signalé sur l'Internet, on indique qu'ils doivent éviter la perception qu'ils suivent des ordres de palais parce que les « étrangers ne l'accepteraient pas ».

Depuis lors, leur interprétation des souhaits du roi est devenue de plus en plus claire, pendant que les cours se sont précipitées par des points de droit contre l'ancien premier ministre et ses alliés, tout en allant facile sur leurs critiques. Quelques cas, tels que les allégations de corruption contre M. Thaksin, ont clairement mérité l'attention des cours. D'autres étaient insignifiants, comme renvoyer cour-commandé en septembre de Samak Sundaravej, le pro-Thaksin premier ministre, de faire une exposition de cuisine de télévision. En revanche, les frais de rébellion contre les chefs de la GARNITURE au-dessus de leur grippage de la Chambre de gouvernement étaient dilués et les cours les ont libérés pour continuer le métier.

Aucune de ceci n'est d'affranchir M. Thaksin et ses copains de leurs péchés. Mais même son abus-un plus grave « guerre sur des drogues » en 2003, l'où on a suspecté la police des centaines d'extrajudiciaire massacre-n'était pas entièrement son défaut. La guerre sale contre les drogue-revendeurs supposés a été mal orienté soutenue par Thais de toutes les classes sociales. Même le roi, dans un discours équivoque qui année, retentie parfois comme si il a approuvé lui.

Le père sait le meilleur

D'autres pays, d'Espagne vers le Brésil, ont surmonté des passé autoritaires pour se développer dans les démocraties fortes dont la politique est la plupart du temps conduite au parlement, pas sur les rues. Le manque de la Thaïlande de suivre le mouvement est en partie parce que le « père » a toujours été disposé à intervenir et des choses de sorte dehors : ses enfants ont jamais tout à fait dû grandir. Les Democrats, l'opposition parlementaire, sont des opportunistes, encourageant sur la GARNITURE tout en apparemment espérant un autre coup royal approuvé pour débarquer le gouvernement dans leur recouvrement.

PrincesseSirindhorn d'AFP est préférée…

La fureur de l'élite traditionnelle de Bangkok contre M. Thaksin refoule en partie de l'embarras à l'avoir soutenu à l'origine. Quand il est venu à la puissance en 2001 il y avait un sentiment que la Thaïlande a eu besoin d'un chef fort de « Président », comme l'ancien homme d'affaires s'est présenté. Sien alors party, Rak thaï thaï (TRT), était le premier dans l'histoire thaïe pour gagner une majorité parlementaire seule, et a formé le premier gouvernement élu pour servir une pleine limite, après quoi il a été réélu. Politiques de M. Thaksin's des services publics et de crédit améliorés pour les pauvres, bien qu'égoïste, promis pour améliorer une société inégale et hiérarchique : une autre raison pour laquelle la vieille élite palais-liée le veut a éliminé.

Le gouvernement des généraux et des bureaucrates installés par les 2006 coup-fabricants a exécuté malheureux. Dans les élections de décembre passé, bien que TRT ait été congédié, la partie de la puissance des nouvelles personnes de M. Thaksin's a gagné la plupart des sièges. Ceci a stimulé la GARNITURE pour reprendre ses protestations. Dans les désaccords dans la GARNITURE d'octobre les membres ont combattu la police avec des pistolets, bombes et les barres pointues, espérant l'armée emploieraient encore le désordre comme prétexte pour un coup. La GARNITURE néanmoins a blâmé les désaccords entièrement sur la brutalité de police, et l'anti-Thaksin presse de Bangkok l'a laissée partir avec ceci. La mort d'un membre de GARNITURE, apparemment faite sauter dans sa voiture par la bombe il portait, a été rapidement enterré. Mais la mort d'un jeune femme, censément quand une police tear-gas la boîte métallique éclatée, est devenue un célèbre de cause.

Jusqu'à ce point il y avait seulement des chuchotements quant à pourquoi la GARNITURE a apprécié un tel traitement-égal clément de l'armée, qui a refusé d'aider la police à enlever des protestataires des bureaux du gouvernement. Cependant, des rumeurs d'un appui extrêmement influent ont été confirmées quand la Reine Sirikit, occupé par un embrayage des cameraman, a présidé au-dessus de l'incinération du femme mort. Le roi est resté silencieux.

Personne ne peut discuter, naturellement, quel l'effet l'appui de la reine a eu sur la majorité de Thais qui toujours, apparemment, M. arrière Thaksin. Un mouvement giratoire des accusations de lèse-majesté ont été faits contre les figures pro-- et anti-Thaksin. Mais le comportement toujours plus menaçant de la GARNITURE, le manque du palais de le désavouer, et l'insistance du groupe que Thais doit choisir entre la fidélité à M. Thaksin et au roi, peuvent faire les dommages incalculables à la couronne lui-même. Certains d'électeurs de M. Thaksin's doivent contempler le renverser-côté de l'argument de remplissage : si la monarchie est contre le chef qu'ils continuent à voter pour, peut-être elle est contre eux. De tels sentiments peuvent seulement être encouragés par les arguments avec condescendance de la GARNITURE que les pauvres ruraux, base principale de soutien de M. Thaksin's, sont trop « incultes » pour avoir des avis politiques, ainsi leur puissance de vote doit être réduite.

Bloomberg… au Prince héritier raide

À un pro-Thaksin rassemblement en juillet un jeune activiste ranted contre la monarchie, appelle le roi « une épine dans le côté de la démocratie » pour le soutien ainsi beaucoup de coups, et avertissant la famille royale qu'ils ont risqué la guillotine. Elle a été rapidement arrêtée. Ce qui a choqué l'établissement royaliste n'était pas simplement la critique effrayante du roi-mais cela l'activiste a été encouragé. « Il est de plus en plus difficile que ils tiennent l'illusion que la monarchie est universellement adorée, » dit un universitaire thaï.

Cette illusion s'émiette parmi le souci croissant au sujet de ce qui se produit quand le règne du roi finit. Les craintes au-dessus de l'influence de passé de M. Thaksin's sur le Prince héritier sont de loin plus profondes éclipsé au sujet de la convenance de l'héritier au trône. Vajiralongkorn a montré peu du charisme ou de la dévotion de son père au devoir, et dans sa jeunesse soufferte d'une mauvaise réputation. Dans un interview pour un journal il s'est défendu contre des accusations qu'il était un bandit. Mais même sa mère, dans un ensemble extraordinaire d'entrevues lors d'une visite vers l'Amérique en 1981, l'a concédé était « mordu de Don Juan ». « Si le peuple de la Thaïlande n'approuve pas le comportement de mon fils, puis il ou devrait changer son comportement ou démissionner du famille royal, » elle a dit.

La presse thaïe avec dévoument individu-censurée et certainement ne répéterait pas ces critiques maintenant. Néanmoins, le Prince héritier restera probablement profondément détesté. Il y a eu de spéculation au cours des années que le roi pourrait passer la couronne à la princesse beaucoup plus populaire Sirindhorn, qui fait maintenant la majeure partie de son travail de voyager le pays pour rencontrer les masses. Les nouvelles 8pm royales nocturnes à la télévision la montrent constamment, souriant par des visites et des cérémonies sans fin, faisant le mérite aux temples bouddhistes et effectuant d'autres bons travaux. Dans les aspects rares du Prince héritier il semble peu disposé et raide, et est rarement vu rencontrer les gens du commun.

La tradition patrilinéaire de la dynastie de Chakri est peu susceptible d'être cassée. Et le rôle important joué par le Prince héritier dans l'incinération de princesse Galyani's a enlevé tous les doutes au sujet de s'il était l'héritier choisi, dit un universitaire thaï. Néanmoins, beaucoup Thais, un peuple superstitieux, se rappellera qu'une vieille prophétie que la dynastie durer seulement neuf générations-Bhumibol est le neuvième Chakri roi-et qu'un dixième serait un désastre.

Un certain jour mon prince…

Pour toutes ces raisons, un ancien haut fonctionnaire avec les cravates fortes de palais déclare qu'il y a une terreur de ce qui viendra après Bhumibol. « Quand nous disons que le `vivent longtemps le king que nous le voulons dire vraiment, parce que nous ne pouvons pas soutenir pour penser à ce que sera la prochaine étape, » il dit. La plupart de Thais sont trop jeune pour se rappeler un moment avant que Bhumibol ait pris le trône. Sa mort sera un saut dans l'inconnu. Il semblerait sage que les conseillers royaux fassent une certaine planification de succession. Mais, dit l'ex-fonctionnaire, aucun semble continuer. Et aucun conseil offert ne serait probablement observé : « Le roi est son propre homme. Personne ne conseille le roi, » il dit.

Dans le terme plus court, un déclenchement pour la confrontation remplacée peut être, si un pro-Thaksin gouvernement survit, son plan pour modifier la constitution passée pendant le régime militaire qui a suivi le coup 2006. Quelques changements soulevés, tels que reconstituer un sénat entièrement élu, semblent raisonnables. Mais la GARNITURE suppose que le motif principal est de soulager M. Thaksin et ses alliés des divers frais judiciaires contre eux. Ni l'un ni l'autre côté ne semble encore disposé à compromettre. Tous les deux ont fait clairement leur promptitude pour employer des foules de rue pour atteindre leurs buts.

Un « compromis de Thaï-modèle » malpropre mais efficace est encore espéré pour, pour retirer le pays du bord. Il est même possible de rêver des mouvements red-- et de jaune-chemise se transformant en système bipartite poli et traditionnel avec la large participation publique. Ceci, alternativement, pourrait aider le pays pour échapper à la maladie de Raynaud des courtisans et des généraux qui essayent de traîner le pays dans le passé. Mais aucune de ceci n'est probable.

Si le règne éclatant de Bhumibol finit dans la conflagration ou mène à la Thaïlande paralysée par des différends sans fin, avec personne de sa stature pour sortir de l'impasse, ce sera une tragédie. Mais il aura joué un rôle principal en provoquant des tels résultats. Il y a naturellement un cas de opposition à être faire-que le roi a été une influence stabilisante dans un âge volatil, cette sa dévotion au devoir a été un exemple de inspiration et cela il seulement a jamais fait ce qu'il a pensé mieux pour le pays. Mais ce point de droit a été fait publiquement, jour dedans, jour dehors, pendant des décennies. On ne permet pas à Thais de discuter l'en public l'autre côté de la pièce de monnaie.

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En fait il y a peut être plus de 8 erreurs sur ce plan!

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Un éléphant trompe, mais il n'est pas le seul

Le Victoria, l'un des plus grand bordel de Bangkok et en face un champs avec des éléphants!
Au passage, ne payer pas les montreurs d'éléphants en achetant des bananes, cela les encourage à exploiter ces pauvres bêtes dans des conditions qui ne les font souffrir.

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