La vraie première Une 2018 du Bangkok Post, un modèle de communication "maitrisée"

D'abord la forme : seulement 3 cases avec 1/3 de la surface pris par une photographie de très médiocre qualité et sans intérêt. 2 publicité "à la noix : une pour une propre régie pub (celle du Bangkok Post?) et une pour des pistaches... Du grand annonceur!

Ensuite 2 articles où l'information est (peut être?) dans les blancs. Le premier article est orné de 4 jolis photos de guerriers seniors, façon démocratie grecque d'il y a quelques années. 4 Jolis bérets, 2 qui regardent à droite quand 2 regardent à gauche (du boulot de pro). On apprend que les politiciens n'ont pas "encore" le droit de faire de la politique. Ils ont droit de rencontrer des gens mais pas de distribuer des calendriers. Pointue l'expertise politique qui va se nicher dans les détails calendaires.

Le deuxième est une collection de paradoxes et de contradictions sur les liens avec la Chine et les États Unis soutenus pas leurs 2 grands leaders respectifs.

Bref, ça devrait redonner confiance dans l'économie. Cela tombe bien, en page intérieures c'est ce que les thaïlandais souhaitent.

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